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Bonjour les aminautes !
Cette quinzaine, Norlane est à la barre des croqueurs de mots , la communauté de Pascale et nous a suggéré le thème de la femme, en haïkus ...
Blonde, brune ou rousse
Feminité des couleurs
Toutes égales et belles
Lumière sur la toile
Le peintre a saisi l'instant
De la beauté pure.
(tableau de Edward Robert Hughes)
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Ce vendredi, Mamylilou et Alice, pour leur communauté du coucou du haïku nous propose un thème sur cette belle photo d'Alice
En haut, tout en haut
Une ombre glisse au sommet
Le vol d'un nuage
Immensité bleue
La cîme des glaciers
A rejoint le ciel.
Harmonie violette
La nature en deux couleurs
en blanc et en bleu
Une mer opalescente
Sous des nuages dentelle
Hauteclaire
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Bonjour les aminautes
Cette quinzaine, Lilie Norlane est montée à la barre de la coquille des croqueurs de mots , la communauté de Pascale et nous a demandé des poèmes de femmes sur les hommes, ou d'hommes sur les femmes ...
Un ange est-il un homme ? pas vraiment, mais cet extrait est délicieux et féminin..
La jeune fille et l'ange de la poésie
- L'ange reste près d'elle ; il sourit à ses pleurs,
Et resserre les noeuds de ses chaînes de fleurs ;
Arrachant une plume à son aile azurée,
Il la met dans la main qui s'était retirée.
En vain, elle résiste, il triomphe... il sourit...
Laissant couler ses pleurs, la jeune femme écrit.Sophie D'Arbouville
(tableau de Dante Rossetti )
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Cette semaine, pour la communauté du coucou du haïku, Mamylilou et Alice nous proposent de parler de fleurs sur une photo de Alice
Jolies primevères
Pétales et corolles mauves.
Au milieu des feuillesFleurs groupées serrées
Pétales roses et coeurs jaunes
En bouquet charmant
Floraison de mars
Les primevères en parfum
La joie des oiseaux
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Cette quinzaine, pour la communauté de Pascale , les croqueurs de mots, ABC est à la barre, et nous a proposé le thème "surprise" pour le jeudi en poésie....
De François Tristan L'hermite
Sur la fin de son cours le Soleil sommeillait
Sur la fin de son cours le Soleil sommeillait
Et déjà ses coursiers abordaient la marine,
Quand Élise passa dans un char qui brillait
De la seule splendeur de sa beauté divine.
Mille appas éclatants qui font un nouveau jour
Et qui sont couronnés d'une grâce immortelle,
Les rayons de la gloire et les feux de l'amour
Éblouissaient la vue et brûlaient avec elle.
Je regardais coucher le bel astre des cieux,
Lorsque ce grand éclat me vint frapper les yeux,
Et de cet accident ma raison fut surprise.
Mon désordre fut grand, je ne le cèle pas.
Voyant baisser le jour et rencontrant Élise,
Je crus que le Soleil revenait sur ses pas.(tableau par John Godward )
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