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Par hauteclaire dans Mes poèmes le 1 Juillet 2010 à 08:48...Et les marins grossiers qui se moquaient il n’y a guère, Se taisent, effrayés du visage blême et du regard noyé de leur maître. A la proue se dresse, immobile, la captive déjà reine, impassible, Les yeux brûlants, passion, fureur, contenues. Elle fixe les cotes vertes qui se dessinent...